– Il faut impérativement que j’écrive, dit l’écrivain, en lisant un livre.

Pendant ce temps-là, sous sa peau, mille fourmis lui racontait sa propre histoire.

 

 

 

– Il faut que je m’éclaircisse la pensée, dit l’écrivain, en se couchant sur le papier.

Croyant l’éclaircir, il la dilua. L’arc qui la tenait se rompit, et elle cessa d’exister.

Share on FacebookTweet about this on TwitterShare on LinkedInEmail this to someoneShare on Tumblr

# #

mai 5, 2014

Laisser un commentaire